
Vincent B. Le Corre
L’affaire, enregistrée sous le numéro de requête 50552/22 devant la Cour européenne des droits de l’homme, s’inscrit dans un effort plus large visant à exposer un schéma de graves infractions ayant touché des milliards de consommateurs et impliquant à la fois des acteurs corporatifs et institutionnels.
Qui suis-je ?
Le 16 février 2023, la Cour européenne des droits de l’homme a accepté ma demande d’anonymat conformément aux articles 33 et 47 du Règlement de la Cour. Cependant, en août 2023, face à des menaces pour ma sécurité et celle de mes proches, j’ai pris la décision difficile de révéler temporairement mon identité.
Mes alertes aux autorités américaines — notamment au FBI — ont commencé en 2015 et se sont intensifiées à partir de 2021. Une partie de ces échanges est désormais disponible publiquement sur le site non-officiel que j’ai lancé pour garantir la transparence : Federal-Bureau-of-Investigation.com/open-letters.
McDonald’s a organisé l’une des fraudes marketing les plus massives de l’histoire moderne, en trompant des milliards de consommateurs pendant des décennies grâce à des jeux promotionnels truqués. Cela lui a permis de distordre la concurrence et d’acquérir un pouvoir économique colossal de manière illégitime. Une chronologie détaillée est consultable sur ECTHRwatch.org.
En France, la situation est particulièrement grave. Des documents judiciaires ont été falsifiés à plusieurs reprises. Malgré des preuves accablantes, aucune réponse judiciaire adéquate n’a été apportée. Dans son livre « J’ai vendu mon âme à McDonald’s », l’ancien PDG de McDonald’s France, Jean-Pierre Petit, se vante de l’influence de l’entreprise sur les dirigeants politiques, ce qui renforce les soupçons de protection institutionnelle ou de défaillance grave de l’État de droit.